Les pleures

Un ombre marchait à travers le boisé. Elle avançait lentement, comme si tout était néant autours d'elle. Puis, la lumière la frappa. Vincess était sur le bord d'une petite rivière, parsemé de roche jaillissant entre les eaux. comme des croc féroce.

C'est ici que je l'ai vu pour la première fois.

Tranquillement, il déroula un rouleau de papyrus.

-Ce poèmes est pour toi, espérent qu'il se perde en ces eaux...

Puis, il se mit à lire, doucement, sa voix était aussi douce que la caresse du vent.


Lorsqu'il eu fini, un silence de mort régnait en ces lieux. Soudain, une goute tomba dans la rivière; Vincess pleurait

(h-g; ceci est l'une de mes oeuvres)

Les larmes ne cessait d'affluer. Il se sentait si faible. Si un ennemis le voyait dans cette état, il serait une cible facile. Mais il s'en fichait. Le poing serré sur le papyrus, il revoyait le film de sa vie; son enfance, la prophétie de sa mère, l'attaque du village, son errance sans but dans la forêt, son apprentissage solitaire, sa capture. Puis, il vit les moment qu'il avait passé avec Nayru; leur rencontre dans les cachot, les nombreux voyages et quêtes, leurs moment de repos.

Fou de tristesse et de rage, il lança le papyrus dans la rivière. Celui-ci fut immédiatement emporter par le faible courant. Hors de lui, il pris sa double épée et frappa de toute part avec. Avec un craquement sec, le bois du manche se rompit en deux. Vincess jeta les deux épée contre un arbre et se tomba à genou. Dans un dernier soubresaut d'énergie, il leva sa tête vers le ciel et hurla.

Ce fut hurlement le plus puissant, le plus long et le plus triste que Vincess n'eut jamais fait. Pris par de violent étourdissement, il sombra dans l'inconscience, le regard vide, le visage mouillé par la tristesse.

(suite du topic '' Esprit perdu '')

La louve c'était directement dirigée par ici. Elle trouva son fidèle ami dans une drôle de situation. Elle n'attendit pas Silith et se jeta aux cotés du brun, cherchant à savoir ce qui s'était passé. Au moins, il était vivant.

Les oreilles braquées vers l'arrière, et se contenta de se pencher vers l'oreille de ce dernier et de chantonner d'une langue qu'elle avait appris ailleurs ;

- Your eyes, let me feel only submission,
Forbidden all lies, alone in the sweet lonely moonlight,
Like the day I first saw you.

When the stars stop to bright,
I will keep the morning away,
I will stay, I will stay with you,

Sacrifice, I could be keep away from paradise,
For have followed the way of the tentation,
Feel that chain, who stay on my heart for all thats accusations,
.................

Maybe I've make a mistake, maybe not,
I could make everything, just for see you smiling,

When the stars stop to bright,
I will keep the morning away,
I will stay, I will stay here with you,

.......

When the stars stop to bright,
I will keep the morning away,
For the betters days of our lives,
When the stars stop to bright,
I will keep the morning away,
I will stay, I will stay here with you.....


Elle ne termina pas ses paroles.

(jtrouve ca sonne plus beau en anglais qu'en francais =3 )

Il entendait des voix lointaines. C'était une mélodie, comme le chant du vent un matin de printemps. Il ne pouvais qu'entendre, car son corps était finit; on trouverais son cadavre sur le bord de la rivière, au coté de son arme brisé, et d'une fiole de venin de vipère...vide.

Je ne mérite que la mort, la vie est si dure, alors que la mort est...si douce.

Dans la kaléidoscope de couleur qui l'emprisonnait, il songeait au dernier jour.

J'ai blessé ma sœur, presque tué mon frère, je mérite la mort...

Il était à bout de force.

Pardonne moi, mère, j'ai échoué.

La louve remarqua plutôt vite une odeur étrange, qui la mena rapidement vers la fiole vide. Elle plaqua brusquement les oreilles, revenant directement vers Vincess, qu'elle redressa par les épaules.

- Usstadro! Réveilles-toi!

Elle le brassa légèrement, fouettant l'air de sa queue dans tous les sens, plus ''paniquée'' qu'autre chose. Elle l'agrippa par derrière et le traina dans la rivière, l'appuyant sur une roche plate au milieu de l'eau.

- Maka spraterio, viness ma ehtso.

Elle se mit à ramasser de l'eau à la main et à la lui déposer sur le visage.

Vincess n'avait plus d'espoir, plus de rêve. Tous avait été anéantie au moment ou il avait attaqué Nayru.

J'étais censé la protégé, mais je l'ai attaqué.

Un choc le brusqua.

Ça y est, les charognard m'ont trouvé et vont me dévorer. Bien fait pour moi.

En fait, Nayru avait déposé son corps sans énergie sur une pierre au milieux de la rivière. Lorsqu'il avait acheté ce venin au marché du grand méchant loup, le vendeur; un vielle homme fou, lui avait vanté la force de ce poison et son étrange antidote. Voyant que cette souffrance allais être purgatoire avant sa mort, il avait acheté le poison sans attendre.

Je suis seul dans la forêt, personne ne trouvera jamais l'antidote.

La louve tourna en rond autour de la roche. Bon sang, solution contre le poison, le faire vomir, mais comment s'il était dans les pommes. Elle continua de lui déposer de l'eau sur le museau, avant de se coucher en ''U'' sur la roche. Elle laissa échapper des plaintes sourdes et aigüe dans les oreilles du brun. Elle devait absolument le réveiller. Elle resta immobile, le museau dans la fourrure du cou de l'autre. Peut-être la chaleur le réveillerait?

Dans le total désespoir, Vincess eu une pensée qui le tortura encore plus;

Si je meure, c'est à ce moment là que je faillirais à ma tâche!

Cette pensé réveilla soudain son esprit engourdie.

NON! Si je meure, je ne servirai plus à rien!

La pensé de son acte bestial lui revint à l'esprit. La honte le submergea.

La mort...ou la vie?

De l'extérieur, Vincess eu un soubresaut. À peine perceptible, mais la louve était collé sur son corps, elle la sentie donc aisément.

Mère...aidé moi, s'il-vous-plait![i]

La grise redressa brusquement la tête lorsqu'il bougea, espérant, mais, non, rien. Les yeux embrouillés par l'eau, mais pas celle de la rivière, elle l'agrippa une seconde fois par les épaules, le tournant pour qu'il ai le ventre sur la roche. Elle se plaça debout, ''à cheval'' par dessus son ''frère'' et plaça un de ses bras sous le ventre de ce dernier, se servant du haut de son corps à elle comme balancier. Oui, bon, C'était pratique pour ceux qui s'étouffaient, mais faire vomir un insconcient, elle n'avait jamais fait ça en fait...

Mère, si vous ne m'aidez pas, aidez la, elle. Elle est la louve de la prophétie, elle vous écoutera.

Au dessus de la rivière, une lumière était apparue au dessus du corps de Vincess. La louve était sans voix devant le spectacle. La lumière pris la forme d'une magnifique lupine aux trait sage.

- Écoute moi, ô blanche et pure âme. Seul toi peu sauvé ce démon que tu tien dans tes bras. MON FILS, ne peut vivre sans raison. Il faut qu'il sache pourquoi vivre, et il doit vouloir cette raison. Tu devrai te hâter, ô belle blanche, car il lui reste peu de temps![b]

Puis l'apparition disparu comme elle était apparue.

La lycanthrope se tourna vivement vers Silith. Elle se mit littéralement à gueuler ;

- TROUVES MOI DES COQUELICOTS!

Elle reporta son attention sur le brun. Elle se laissa tombée sur les genoux, restant blottie sur le dos de Vincess. Elle resta immobile, enfouie dans la fourrure de son dos.

Vincess était dans ces derniers moments. Le poison qu'il avait ingéré se répandait moi rapidement qu'il l'avait crut, car il était supposé être déjà mort. On aurais dit que son âme ne voulais quitter son corps.

Si la mort ne veut pas de moi, alors je vivrai!

Il concentra toute son énergie afin de contrôlé ses influx nerveux. Son cœur, presque éteint, se remit à battre à la chamade, il était pris de soubresaut. Par contre, ses paupière était encore trop lourde. Le poison allait bientôt l'achever. Flottant dans une demie conscience, il rassembla son énergie une dernière fois; il se changea en loup. Cette forme était plus résistante, il gagnerais donc du temps.

Maintenant, je suis entre les mains du destin.

La lupine resta appuyée sur le rocher. La chamane observa son cher ami se métamorphoser, les oreilles toujours plaquées vers l'arrière, impuissante tant que Silith ne reviendrait pas.

Elle le souleva légèrement, s'asseyant sur la roche. Elle le posa sur elle, comme un humain avec un gros chien, se contentant de lui caresser la tête en lui soufflant des mots à l'oreille.

- Zarmël, Ussa-Ssrinsrigs, Zarmël.

Elle redressa vaillamment les oreilles en entendant l'appel de Silith. Elle répondit de la même façon. Il devait revenir, et vite.

De nouveau, Vincess entendu des voix, il ne pouvait pas dire de ou elle venait, mais elles se rapprochaient.

Cette voix...c'est Nayru, elle est là. Elle m'attend.

Les paupière toujours lourde, il tenta de rouvrir ses yeux, mais il ne réussit qu'à les bougé.

Soudain, il se sentait lourd, comme aspiré par quelque chose de puissant et ravageur.

Non, j'ai changé, je ne veux plus mourir! Je donnerai ce qu'il faut, mais e vivrai!

Dès qu'il arriva, la lupine empoigna les fleurs et, les mains tremblantes, détacha précautionneusement chacune des pétales rouges des coquelicots. Elle espérait que cela fonctionnerait. Les coquelicots, les fleurs du souvenir. Elle tassa légèrement Silith, non pas par énervement, loin de là, mais uniquement car elle avait besoin de place pour sauver son Usa-Srinsrigs, ou du moins, tenter de le faire, s'il n'était pas trop tard.

Elle posa doucement le loup brun sur le dos, vérifiant bien qu'il n'était pas blessé ailleurs et qu'il respirait toujours. L'esprit de la chamane s'embrouillait par les émotions de cette situation. Son attachement envers Vincess n'avait pas d'égal. Si elle le perdait, elle se perdrait elle-même à son tour. Elle n'y survivrait simplement pas, et cela, elle le savait. Il devait rester en vie. Il allait rester en vie!

Elle lui entrouvrit la gueule, toujours tremblante, et y enfonça les pétales rouges, petit à petit, pour ne pas l'étouffer. Elle le fit mâcher elle-même, et avaler en passant sa mains sur sa gorge avec une légère pression. Les pétales avaient deux effets ; soit il vomirait, soit il se réveillerait lentement.

La femelle reprit ensuite le canidé dans ses bras, presque comme un bébé, appuyant son museau froid sur son front. Les paroles de Silith entraient dans ses oreilles comme du vent, un murmure lointain parmi le souffle du vent. Des murmures incompréhensibles. Dont, malheureusement, elle ne se souciait peu.

Dans la plus puissante poussé d'énergie qu'il n'eus jamais déployé, Vincess tenta de revenir à lui. Ses yeux lui obéir enfin. Aussitôt que l'ombre de quelqu'un apparue devant lui, son cœur se sera; son estomac était en feu. Il régurgita amèrement tout son contenue, se répandant dans la rivière. Un mince filet noir s'échappa soudainement de la gueule du loup, il disparue aussitôt qu'il eu sortie de l'être du lupin.

Vincess bâtit des paupières, sa vision était flou. Il entendais le clapotement de la rivière, mêle à des espèces de gémissement incompréhensible. Il avait mal partout, on aurait dit que des centaine d'aiguille le perçait de toutes part, mais il s'en fichait, il était en vie.

Comment ais-je pus être si stupide?

Sa vision lui revenait peu à peu. Il sourie lorsqu'il reconnue enfin son amie. Il réussit à murmuré d'une voix presque inaudible;

-Nayru, pardonne moi...